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L'univers de l'Espace
Reine de Saba











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Afin de faciliter les diverses recherches de nos lecteurs, voici cette rubrique qui s’étoffe jour après jour. Partenaires et amis (es), n’hésitez-pas à nous contacter, pour s’inscrire dans ces liens.
 
Souscription du livre :QUELQUES PAS VERS LA GUERRE, un recueil de nouvelles de Sébastien DELEDICQUE aux éditions : www.editionsannickjubien.fr https://fr.ulule.com/quelques-pas-v... https://www.editionsannickjubien.fr/ et dans l’attente d’accueillir Sébastien, avec Christelle Guenot aux Portes Ouvertes des AAB... http://ateliers-artistes-belleville... Nous signalons l’excellent site dédié à ANDRE MALRAUX, qui par ailleurs vient d’informer la publication du livre de Mr Walter LANGLOIS "Malraux, à la recherche de la Reine de Saba"... > Un écrivain aux origines modestes, avide de reconnaissance André Malraux. Un aviateur, héros de la Première Guerre mondiale et grand-bourgeois, en quête d ‘aventure Édouard Corniglion-Molinier. Une fem­me mythique à la beauté de l ‘aube la reine de Saba. Une terre (...)

    ARTICLES DIVERS [(Film LAMB, rare film éthiopien, salué par la presse et le public (et aussi à Cannes...) sur ARTE : jeudi 21 septembre à 23h45 Puis : En ligne du 21 septembre au 28 septembre 2017 Histoire : Profondément attaché à sa brebis, un jeune garçon déploie des trésors d’ingéniosité pour la sauver. Une œuvre touchante sur la détermination, imprégnée par la beauté des paysages éthiopiens. Premier film éthiopien présenté au festival de Cannes, en 2015. Inséparable de sa meilleure amie, la brebis Chuni, Ephraïm, 9 ans, vit avec son père dans un village du nord de l’Éthiopie. Après le décès de sa mère, le garçonnet est confié à la famille de son oncle Solomon, un homme très exigeant. Lorsque ce dernier lui demande de sacrifier Chuni pour une fête à venir, Ephraïm s'enfuit avec elle… Beauté infinie Après des études à l'université de New York, Yared Zeleke a travaillé pour des ONG et a réalisé plusieurs courts métrages documentaires et de fiction. Avec "Lamb", son premier long métrage (et premier film éthiopien présenté au festival de Cannes, en 2015), il signe une œuvre émouvante et pleine de poésie grâce à la force de caractère de son jeune héros et à la beauté infinie des paysages africains. Production : Scénario : Yared Zeleke Costumes : Sandra Berrebi Décors / Bauten : Laurence Brenguier Image : Josée Deshaies Musique : Christophe Chassol Production : Slum Kid Films, Heimat Film, Gloria Films, Dublin Films, Film Farms, ZDF/Das kleine Fernsehspiel, ARTE. . Son : Till Heinrich Röllinghoff ____________________ Déjà 29 ans ! Et toujours le même désir de rassembler amis voyageurs et aventuriers autour de notre passion commune : le voyage, le temps d’un week-end à l’Opéra ! Un festival pour rêver, se documenter, échanger dans un esprit de tolérance, réfléchir aussi. Car ce monde dont nous aimons tant parcourir les sentiers, ces peuples que nous croisons, qui nous accueillent et dont nous admirons les traditions, prenons-nous le temps d’observer leur mode de vie, de comprendre leurs besoins ? Du 29 septembre au 1er octobre 2017, le Festival des Globe-trotters ouvre ses portes pour une édition placée sous le signe du rêve, de l’évasion, de l’aventure, de rencontres authentiques entre voyageurs. Avec la présence exceptionnelle de Mundiya Kepanga, chef papou, qui nous invite avec humour et poésie au cœur de sa forêt menacée. De nombreux stands de voyageurs et de professionnels du voyage, des débats pratiques permettront à chacun de préparer son départ en bénéficiant des expériences de globe-trotters chevronnés. Au programme, la diffusion d'une quarantaine de films à la découverte des merveilles du globe, des conseils pour la préparation au voyage, des conférences animées par de grands aventuriers, des expositions, des stands de globe-trotters qui ont accompli leurs rêves ... tout un panel d'animations provoquant dialogue, débats et échanges de vision du tourisme et bons plans pour tous les passionnés de découvertes ! Globe-trotters magazine n°175 arrive ! Septembre / Octobre 2017 - Festival des Globe-trotters : Différences sans frontières En 1977, cent dollars m’ont suffi à voyager du sud de l’Inde au Népal, pour un séjour dense, varié, aux multiples rencontres et découvertes, coutumes, sites grandioses, modes de vie des plus dépaysants. Pour une étudiante vivant dans l’occident consumériste, où les concepts de développement durable et de “halte à la croissance” n’étaient connus que de quelques initiés, ce fut une expérience inoubliable. Dix années plus tard, deux semaines à pied dans le Hoggar changèrent définitivement mon regard sur l’eau — et sur la sobriété. Des semaines après le retour, j’étais fascinée à la simple vue de l’eau coulant d’un robinet. Voyager est un état d’esprit, être capable de tout lâcher, pour aller à la rencontre de l’autre. Ne jamais être installé dans ses habitudes, certitudes et donc son confort, accepter les remises en cause provenant de sources les plus inattendues. Voyager est un art de vivre : l’art, c’est reconnaître ces occasions de lâcher, y arriver ici et maintenant, sans avoir besoin de se déplacer en Inde, au Népal ou au Hoggar pour faire l’expérience du détachement. Voyager, c’est vivre au présent, avec la sobriété qui apprend à réduire les conditionnements et contraintes inutiles. Il y a une trentaine d’années, les communications étaient limitées aux urgences, il était facile de s’immerger dans l’inconnu. Les sujets photographiques étaient soigneusement choisis, l’argentique coûtait cher. Encore auparavant, les grands voyageurs n’avaient que leurs plume, pinceau et papier pour transmettre leurs observations. Maintenant, rares sont ceux qui ne sont pas équipés de téléphone portable high tech, tablette, etc., et y consacrent un temps précieux. N’y aurait-il pas une nouvelle sobriété à expérimenter ? Pour mieux rencontrer l’autre et savourer le voyage... Entrant dans sa trentième année, ABM a suivi les évolutions du voyage. Le Festival des Globe-trotters, à l’Opéra de Massy, le dernier week-end de septembre, est devenu incontournable pour ceux qui oeuvrent afin que le voyage reste une grande aventure. Venance Journé (75) contact : ABM.fr ______________________ Etenesh Wassie, Mathieu Sourisseau et Julie Läderach en concert : Mardi 14 mars 2017 à 21h au Périscope : 13 rue Delandine, 69002 Lyon 04 78 38 89 29 / periscope.lyon@gmail.com http://www.periscope-lyon.com/_2191 ___________________________________ CE 9 FEVRIER 2016 : Pour un court-métrage militant, qui devra se tourner entre le 26 février et le 3 mars prochain, nous cherchons une femme (20-35 ans) d'origine éthiopienne, érythréenne parlant soit amaric soit tigrinya et français (mais pas obligatoirement). (défraiement et cachet). Le film raconte l'errance d'une femme dont le frère s'est noyé dans le port de Calais en tentant de rejoindre l'Angleterre, et qui cherche à rencontrer les amis et témoins des derniers instants de son frère. ps : Nous sommes les deux réalisatrices de "Voyage en Barbarie", film documentaire qui dénonce la réalité des camps de torture dans le Sinaï. Par ailleurs, nous connaissons parfaitement Calais et sa réalité, ayant déjà plusieurs fois travaillé sur place. A TRANSMETTRE et nous contacter de toute urgence : reinedesaba2@orange.fr ------------------------------- COP21 aussi au Yémen : lire et voir ci-dessous : Bonjour, Chers extraordinaires membres d'Avaaz, Nous avons réussi! Même avec l'annulation de notre évènement phare à Paris, la Marche Mondiale pour le Climat de ce week-end a battu tous les records et est devenue la plus grande mobilisation pour le climat de l'Histoire! De São Paulo à Sydney, nous avons été 785 000 à faire trembler le sol de nos pas lors de plus de 2300 évènements dans 175 pays, unis et demandant d'une même voix un avenir fondé sur des énergies 100% propres et renouvelables, qui sauvera tout ce que nous aimons. Nous étions à la une de tous les médias, et l'impact de notre mobilisation commence déjà à se faire ressentir à Paris. Les mots me manquent pour rendre pleinement justice à la puissance, la beauté et la diversité de l'humanité qui s'est révélée hier, mais ces photos en disent long: ------------- Comment écrire l'histoire des enracinements en diaspora ? Les Arméniens en Éthiopie Share on facebookShare on twitterMore Sharing Services Conférence-débat de l'UniverCité Mardi 1 Décembre 2015, 18:30 Avec Boris Adjemian, chercheur affilié à l'Institut des mondes africains, lauréat du premier Prix de la recherche, animée par Christine Chivallon, directrice de recherche CNRS, LAM (Les Afriques dans le Monde), Sciences Po Bordeaux - Université de Bordeaux. La fanfare arménienne du negus Täfäri et son directeur, Kévork Nalbandian : photomontage de 1930 (collection Bibliothèque Nubar de l'UGAB) De la fin du XIXe siècle à nos jours, les immigrants arméniens en Éthiopie et leurs descendants se sont distingués par la richesse de leurs ancrages sociaux dans le pays d’accueil. Dans les représentations collectives comme dans la matérialité et la tonalité des parcours individuels, ils ont longtemps occupé une place intermédiaire, à mi-chemin entre le national et l’étranger. Cette sédentarisation a contribué à la formation d’un grand récit idéalisé de l’immigration arménienne dans lequel l’Éthiopie est devenue un homeland de substitution. Elle est scandée dans les mémoires par des figures et des événements emblématiques comme la création de la fanfare royale du ras Täfäri (futur empereur Haylä Sellasé) par quarante orphelins arméniens rescapés du génocide, en 1924. Au-delà de ses singularités, le cas des Arméniens d’Éthiopie nous invite à prêter attention à la part sédentaire de l’expérience diasporique. Celle-ci ne se résume pas à des réseaux de mobilités, au sentiment de l’exil et au lien réel ou rêvé à la terre d’origine, mais met également à l’épreuve la faculté des spécialistes des migrations et des diasporas à saisir et transcrire ces enracinements individuels et collectifs. Télécharger la bibliographie réalisée par la médiathèque Abdelmalek Sayad. Informations pratiques Entrée libre sans réservation, dans la limite des places disponibles. Auditorium Philippe Dewitte. Contact : recherche@histoire-immigration.fr Palais de la Porte Dorée 293, avenue Daumesnil 75012 Paris ---------------------------- URGENT APPEAL: SOCOTRA FOS FUNDRAISER - CYCLONE RELIEF AID - http://gogetfunding.com/soqotra-needs-our-help/ Dear Friends and Colleagues, As part of an extreme climatic event, two Cyclones hit the Socotra Archipelago hard on the 1st and 8th of November (Cyclones Chapala and Megh). The Socotra Archipelago is a UNESCO Natural World Heritage Site, sometimes called "the Galápagos of the Indian Ocean" due to its exceptional biodiversity. The devastating impact of these cyclones resulted in losses of lives, countless injured, destruction of infrastructure, thousands of people displaced and huge ecological damage. Although the Archipelago is safe (not taking natural disasters into account), Socotra has been suffering recently under the ongoing conflicts on the mainland, resulting in a shortage of important goods to the island. With the destruction of its main artery, the only harbor (destroyed by Chapala), people are now even more isolated, and help is difficult. International support is necessary, and several countries have organised immediate relief efforts. However, much of this help is not reaching a significant proportion of the population - many people are stuck in remote areas as roads have been damaged, and even in main villages, the poor remain poor. Several people are still missing. In addition, the cyclones caused damage to Abdullah and Ahmed Hadeeb's nursery, vital to conservation efforts on the island, and also to Boswellia trees on Homhil (many unrooted trees), Dracaena and Cucumber Trees, and to coral reefs (report EPA). The effects of the storm are only starting to become apparent as people are trying to reach isolated communities on the island, cut off by destroyed roads. As the Chairperson of the Friends of Soqotra (FoS), I would like to launch an appeal for help to the people and the environment of the Socotra Archipelago to reduce the impacts of the cyclones. The Friends of Soqotra (with a q) is a UK-based Charity launched in 2000, aimed at raising awareness and supporting the natural and cultural heritage of this amazing Archipelago. We have now organized local help, in cooperation with local and international agencies, to identify and to reach those people who are most in need of direct help. This help is being carried out by Socotri volunteers who have been selected by FoS. They are most capable at identifying the needs of their people. Small donations go a long way in Socotra (a mere 100 US dollars would help a displaced family to restart their lives). We have set up a fundraiser to collect relief aid for Sccotra on behalf of FoS (set up by FoS committee member Lisa Banfield; http://gogetfunding.com/soqotra-needs-our-help/); alternatively, it is possible to donate through the FoS website directly using PayPal (http://www.friendsofsoqotra.org/About/Mission.html). If more details (direct bank details) are needed for a FoS donation, and updates on what is happening on Socotra, feel free to contact me directly at kay.vandamme@gmail.com or to contact our treasurer, Hugh Morris, at hctmorris@hotmail.com. We also encourage people to share the appeal through facebook (https://www.facebook.com/FriendsOfSoqotra/?fref=ts). If you would like to be informed of how the donations are used, please include your name with your donation (in the fundraiser), and we will contact you. EVERY EURO, DOLLAR, PESO, OR ANY DONATION, EVEN THE SMALLEST, HELPS! If this would be happening in a Western country, the government would support help, but Socotra is not that fortunate. Friends, either individually or as an NGO, have set up alternative fundraisers for the same purposes, if you would like to check them out as well (Solidarios sin Fronteras; http://www.migranodearena.org/…/ayuda-socotra--help-socotra/and Socotra Cyclone Victims Aid;https://www.facebook.com/socotra.cyclone.victims.aid/…). Please share this appeal. Shukran! Socotra thanks you for your help! Dr Kay Van Damme, on behalf of the Friends of Soqotra Committee Chairperson FoS (www.friendsofsoqotra.org) ---------------------- Dans le cadre de la saison 2015-2016 des conférences de l'UniverCité (http://www.histoire-immigration.fr/2015/8/l-univercite-saison-2015-2016) organisée par le Département Recherche (Marianne Amar) du Musée national de l'Histoire de l'immigration (Etablissement public du Palais de la Porte Dorée), d'une séance organisée autour des travaux de Boris Adjemian : Docteur en histoire de l'EHESS et de l'Université "L'Orientale" de Naples, Chercheur affilié à l'Institut des Mondes Africains (IMAF). Cette séance sera animée par Christine Chivallon : Directrice de recherche CNRS, Les Afriques dans le Monde (LAM), Sciences Po Bordeaux, Université de Bordeaux. Cette conférence intitulée: "Comment écrire l'histoire des enracinements en diaspora? Les Arméniens en Ethiopie" aura lieu le 1er décembre 2015 à partir de 18h30 au Musée national de l'histoire de l'immigration : 293, avenue Daumesnil 75012 Paris (Auditorium Philippe Dewitte) - Métro Porte Dorée (Ligne 8). Vous trouverez l'annonce de cette conférence sur le site du Musée national de l'histoire de l'immigration à partir du lien suivant: http://www.histoire-immigration.fr/2015/8/comment-ecrire-l-histoire-des-enracinements-en-diaspora-les-armeniens-en-ethiopie Musée national de l'histoire de l'immigration 293, avenue Daumesnil - 75012 Paris ________________ Près de 90 000 ouvrages de tous genres à des prix dérisoires compris entre 1 e et 5 e vous attendent sous chapiteau sur la Place Bellecour de 10h à 20h sans interruption, à la Braderie "Livres et Solidarités" L'Amitié Franco-Éthiopienne sera présente au Village de la Solidarité Internationale, sous le même chapiteau : Vendredi 13 novembre de 10h à 20h; Samedi 14 novembre de 10h à 21h; Dimanche 15 novembre de 10h à 18h http://www.lasemaine.org/la-semaine-pres-de-chez-vous/animation?id_animation=12142 __________________ LE YEMEN, ou la force de l'Histoire : conférence à l'IMA le dimanche 25 octobre 2015 à 16h IMA : Salle du Haut Conseil, 9ème étage; Entrée libre dans la limite des places disponibles. L’antique Yémen est aujourd'hui au cœur d'une actualité politique aussi réductrice qu’elle est brûlante. Des territoires de la mythique reine de Saba, le public français ne reçoit plus que des images de violence et de radicalisme sectaire. Cette table ronde entendrait avant tout extraire la lecture de ce grand pays de la Péninsule arabique des limites étroites ou l'enferme l'actualité. L'un des prétextes et l’un des instruments de cette rencontre serait la présentation aux habitués des Jeudis de l’IMA un important ouvrage iconographique, désormais en accès public libre (depuis le 15 juillet 2015) «Le Yémen vers la république. Iconographie historique du Yémen – 1900-1970 ». François Burgat et Eric Vallet, les co-directeurs de l’ouvrage en projetteraient les extraits les plus susceptibles de donner aux participants les clés historiques de lecture des divisions politiques et sectaires qui se sont récemment exacerbées. Ils s’emploieraient plus encore, avec l’aide de Franck Mermier et de Lamya Khalidi, à expliciter toutes les raisons qui permettent de penser que le pays peut puiser dans cette longue histoire les ressources pour les surmonter. Un volet de la table ronde (Lamya Khalidi, archéologue) sera explicitement consacré à la présentation des hauteurs dominantes du patrimoine archéologique, tout particulièrement riche, de ce pays. Avec : Eric Vallet, historien de l'Islam médiéval, enseignant chercheur et maître de conférences à l'université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Laurent Bonnefoy, Chargé de recherche au CNRS, affecté au CERI depuis janvier 2013, politologue et arabisant, spécialiste des mouvements salafistes et de la péninsule arabique contemporaine; Lamya Khalidi, chargée de recherche au CNRS, (Cultures et Environnements, Préhistoire, Antiquité, Moyen Age (CEPAM) - (UMR 7264) archéologue. Débat animé par François Burgat, politologue, directeur de recherche à l'Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman à Aix-en-Provence. http://www.imarabe.org/jeudi-ima/le-yemen-ou-la-force-de-l-histoire AIDEZ LE YEMEN et sa population ! soutenez toutes les initiatives pour la Paix et ne pas oublier ce pays attachant et sa population généreuse empêtrée par les intérêts étrangers ! Lisez aussi l'article paru dans LIBERATION le 16 octobre 2015, soutenez les actions de SALAM FOR YEMEN et MSF : nombreux articles dans ce site, et contactez-nous ! _____________________________________________________ Samedi 3 octobre 2015 à 17h30 salle de l'Acquêt d'eau à Messein Philippe Bichon présentera un diaporama (photos & dessins) sur fond de sonorités orientales, jouées en direct sur son oud (luth arabe). L’idée est de retrouver sur scène le même esprit que les carnets de route, qui sont réalisés sans brouillon et sans filets. Ce montage numérique mêle photos, croquis et aquarelles extraits de son carnet de route réalisé sur le vif lors d'un voyage de 6 semaines seul en été 2009, complété d'un 2ème séjour un an plus tard, à l’invitation de l’ambassade yéménite à Paris, qui a souhaité inviter 8 artistes européens. Photos, croquis, aquarelles et musique vous transporterons ainsi sur les pas du globecroqueur à la découverte de ce pays fascinant. Alors que le Yémen vit des jours particulièrement sombres, Philippe vous propose de découvrir le Yémen du bout de son pinceau. Si l’ « Arabia Felix» d’autrefois n’est plus tout à fait heureuse, elle étonne encore le peu de voyageurs qui osent s’y aventurer par son architecture et son authenticité. Il règne dans les rues de la ville de Sanaa ou dans les villages des djebels un vrai parfum d’aventure et bien loin des clichés, au coeur du souk ou dans les ruelles, l’hospitalité règne. Peu de pays au monde possèdent une architecture traditionnelle aussi riche, la moindre ville, le moindre village regorge de trésors architecturaux. Il a même fallu inventer un mot pour caractériser ces « maison-tours » yéménites, qui se dressent tout en verticalité. Philippe, l’oeil et le crayon exercés par ses années comme collaborateur d’architecte du patrimoine, retranscrit la finesse de cette architecture incroyable. Dessiner permet de mieux s’imprégner des lieux, de rencontrer la population autrement. Son carnet de route nous offre un regard sur ce pays méconnu, aujourd’hui sous les feux de l’actualité Inscrivez-vous sur la newsletter de mon blog pour suivre mon actualité automatiquement -- Nadine Gellenoncourt Secrétaire A.P.P.L. peinture-messein@orange.fr http://www.peinture-patrimoine-lorrain.fr ------------------- Merci de signer ma pétition: Ministères des affaires étrangères européens, américain, saoudien: Arrêtez les bombardements et les combats au Yémen ! Chaque personne qui signe renforce notre mobilisation. Merci de prendre une minute pour partager ce lien avec tous vos contacts: https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ministeres_des_affaires_etrangeres_europeens_americain_saoudien_Arretez_les_bombardements_et_les_combats_au_Yemen/?tUoekjb Ensemble, provoquons le changement, Odile --- Voici la pétition à envoyer à vos amis: Ministères des affaires étrangères européens, américain, saoudien: Arrêtez les bombardements et les combats au Yémen La guerre au Yémen entraîne une crise alimentaire et sanitaire d’une sévérité jamais observée (MSF). Le CICR ramasse les cadavres dans les rues. Des hommes, des femmes, des enfants meurent chaque jour sous les bombardements. Des hôpitaux, des écoles, des maisons sont détruits. Un blocus total empêche les organisations humanitaires d’intervenir. Les hôpitaux n’ont plus de médicaments pour soigner les blessés et les malades. L’électricité ne fonctionne pratiquement plus (quelques minutes par jour seulement). L’accès à l’eau se raréfie. Une épidémie de dengue menace. Les rues sont jonchées de cadavres. Nous avons besoin de vous pour faire pression sur les gouvernements. Signez cette pétition pour faire cesser les bombardements et les combats. Cette pétition sera remise aux différents ministères des affaires étrangères européens, américain et saoudien. Atteignons 500 000 signatures ! « Un désastre humanitaire à huis clos » : http://www.lefigaro.fr/international/2015/06/12/01003 20150612ARTFIG00385-guerre-au-yemen-un-desastr... Le CICR choqué par les souffrances endurées par la population yéménite : https://www.icrc.org/fr/document/le-cicr-choque-par-les-souffrances-endurees-par-la-population-yemen... Yémen : un cessez le feu immédiat et permanent pour sauver des millions de civils : http://www.actioncontrelafaim.org/fr/content/yemen-un-cessez-le-feu-immediat-et-permanent-pour-sauve... Yémen : les civils pris au piège par le blocus imposé par la coalition : http://www.actioncontrelafaim.org/fr/content/yemen-les-civils-pris-au-piege-du-blocus-impose-par-la-... Yémen : fin des consultations de Genève sans accord pour une trêve : http://www.liberation.fr/monde/2015/06/19/yemen-fin-des-consultations-de-geneve-sans-accord_1333208 https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ministeres_des_affaires_etrangeres_europeens_americain_saoudien_Arretez_les_bombardements_et_les_combats_au_Yemen/?tUoekjb Envoyé par Avaaz à partir de la pétition de Odile ---------------------------------- Message reçu de Sonia H : Comme d'habitude, l'Amitié Franco-Éthiopienne sera présente aux "Invites" de Villeurbanne, avec un stand aux "cuisines du monde" - samedi 20 juin 2015, de 12h à 17h30 - au Parc du Centre (derrière Monoprix) - métro "Gratte-Ciel" (voiture déconseillée) Repas éthiopien, café, thé épicé, gâteaux, birz.... Toute aide sera bienvenue, pour la préparation et le service. Mon téléphone : 06 03 44 40 88. ----------------------------------- Reçu de la part de Sonia H : Olivier Bourguet présente ses belles photos d’Éthiopie: - Vendredi 13 mars à 20h30 au Cinema André Pinatel, Rue Eugene Bonnardel, 42530 Saint-Genest-Lerpt (près de Saint-Étienne) http://www.olivierbourguet.com/ ------------------------------------ Reçu le 8 mars 2015 à 15 h : ----- Forwarded message from cra ----- Date: Tue, 3 Mar 2015 12:54:55 +0100 From: cra Reply-To: cra Subject: Offre de bénévolat - Interprètes Madame, Monsieur, Le service d'aide aux étrangers retenus (SAER) de l'association France terre d'asile est à la recherche d'interprètes bénévoles par téléphone pour sa mission d'information et d'aide à l'exercice effectif des droits des personnes placées dans quatre centres de rétention administrative (Coquelles, Rouen-Oissel, Palaiseau, Plaisir). Nous vous saurions gré de bien vouloir diffuser cette offre au sein de votre établissement ainsi qu'auprès des membres de votre structure. Vous en remerciant par avance. Meilleures salutations, Chloé MONFORT Conseillère juridique et administrative Service d'aide aux étrangers retenus cra@france-terre-asile.orgcra@france-terre-asile.org> Tél. : 01 53 04 20 29 / Fax. 01 40 03 93 10 Tél. : 06 14 74 15 10 [cid:image001.jpg@01D055B0.B895BB50] France terre d'asile 24 rue Marc Seguin - 1er étage 75018 Paris ------------------------------- MAIS Où VA LE YÉMEN ?? ARTICLE REçU CE 7 mars en anglais : The political upheaval in Yemen has dealt a powerful blow to the country's oil industry, forcing companies to abandon productive oil patches and evacuate staff as a rebel group consolidates power. Houston-based Occidental Petroleum Corp. , which has been operating in Yemen for nearly three decades, flew its staff out of the country in January, executives and local officials said, after gunmen stormed its compound in the capital, San'a, where Houthi militants have tightened their grip on power. Since then, executives and local officials said Nexen Inc.-owned by China's Cnooc Ltd. -Norway's DNO AS A and Dove Energy Group of Dubai are all moving to relinquish their rights to blocks that produce thousands of barrels of crude a day. And Austrian energy company OMV AG -which produces about 22,000 barrels a day in Yemen-has evacuated most of its expat staff and scaled back its operations. "Yemen at the moment is a very difficult environment," said OMV's head of exploration and production, Jaap Huijskes, in a call with reporters last month. After nearly four years of violence and political fracturing in Yemen, company executives and experts said the security situation has reached a tipping point, especially for producers with smaller fields. Pipelines and oil blocks are under continuous attacks from tribesmen or groups affiliated with al Qaeda seeking to discredit the government and disrupt a source of revenue. "It is difficult to see how Yemen's oil industry can survive a descent into chaos or a breakup of the country," said Robin Mills, head of consulting at Dubai-based consultancy Manaar Energy. "Avoiding the worst outcomes will require a radical rethink of how the oil industry operates and how its resources are distributed." The stakes have been raised since the rebel Houthis, who are also at odds with al Qaeda, took control of San'a by force last year. Yemeni President Abed Rabbo Mansour Hadi, with support from the U.S., Saudi Arabia and other Persian Gulf countries, is trying to mount a comeback from the coastal city of Aden. Meanwhile, much of the country is under tribal rule. The oil company exodus has hastened the decline of the petroleum industry in Yemen, where some saw the emergence of a new Middle East oil powerhouse in the 1980s. But the country's oil fields peaked about a decade ago, and the industry has since been hampered by aging fields, corruption and sabotage. Yemen, a relatively small oil producer by Middle Eastern standards, saw output fall to around 130,000 barrels a day last year from nearly 300,000 before the start of armed conflict in 2011, according to the U.S. Energy Information Administration. The country's oil-export revenue-which accounts for 90% of its foreign-currency earnings-fell by $1 billion in 2014, down 37% from 2013, according to the Central Bank of Yemen. Oil companies such as Occidental are leaving a country where they have long-standing relationships. Others, like Nexen, had relatively small blocks. Nexen was producing only half of its block's 6,000-barrel-a-day capacity and decided to hand over all operations in Yemen to state-owned Petro Masila last month, though their production contract in the country extended through 2023, officials said. A Nexen spokeswoman said that the company's Yemen block "is not economic" and that the company would work with its employees and government to "safely transition the operations." Several oil companies have decided to stay, including Total SA, the country's biggest producer at about 40,000 barrels a day. Total has been talking to Houthi officials since October, two weeks after the rebels seized power in San'a, according to Houthi officials. An official at another company staying in Yemen said smaller producers were leaving the country, but "companies with production exceeding 25,000 barrels would think twice before leaving Yemen." Adding to uncertainty for oil producers, the Houthis control the Bab-el-Mandeb, the strait connecting the Gulf of Aden to the Red Sea and a route for oil tankers heading to the Suez Canal. Houthi leaders say they plan to keep the Bab-el-Mandeb open to shipping traffic and are looking to take over Yemen's oil country in the north, including Marib, where the nation's main pipeline carries up to 100,000 barrels a day to the Red Sea port of Ras Isa. Houthi leaders say they can provide more safety from al Qaeda attacks, setting up a showdown with tribal leaders who say they will defend their territory. "Foreign companies leaving Yemen is a political decision and not a security one," Abdullah Shaban, the head of the Houthi Oil and Gas Committee, said in an interview. "We will not threaten or harm foreign interests in Yemen but rather ensure that their operations do not go against the Yemeni law." They also say Yemen's oil industry is corrupt, with companies not only paying the central government for rights to drill and produce in the country, but also paying tribal leaders for security. In Marib, those payments total about $1 billion a year, local officials said. Tribal officials say the Houthis simply want a cut for themselves. ________________________________________ Zoom : L’Ethiopie, à la confluence des temporalités. Zoom du salon de lecture Zoom l'Ethiopie, à la confluence des temporalités - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Du vendredi 2 janvier au 30 avril 2015 Plus de 300 livres issus des réserves de la médiathèque en libre-accès au salon de lecture Programmation audiovisuelle à découvrir sur les postes informatiques Programmation Conférences, tables rondes, rencontres, sorties d'objets, etc. programmés du mois de janvier au mois d'avril. Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles Présentation Bahaylou, peinture, scène de chasse. Ancienne collection de Marcel Griaule © musée du quai Branly - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Bahaylou, peinture, scène de chasse. Ancienne collection de Marcel Griaule © musée du quai Branly. Loin des images éculées de la famine ou de la guerre, l’Éthiopie compte désormais parmi les grandes puissances africaines. Porte-parole de l’Afrique aux G8 et G20, le pays accueille les sièges de l’Union Africaine et de la Commission Économique de l’Afrique, et le gouvernement est en train de construire, sur le Nil, le plus grand barrage hydro-électrique du continent. Pays exceptionnel par son histoire chrétienne et impériale millénaire, seul à n’avoir pas connu la colonisation, qu’en est-il, aujourd’hui, de l’Éthiopie ? Ce pays est l’objet de toutes les attentions au salon de lecture de janvier à avril 2015. Le programme de rencontres et tables rondes ne fait pas l’économie de sujets presque clichés pour en faire mieux connaître la profondeur. La reine de Saba sera présente, mais sur une peinture d’histoire des collections du musée, l’histoire de la Révolution socialiste introduit une séance sur l’Ethiopie contemporaine, les femmes mursi à labrets amènent à parler de la globalisation. Qu’est-ce que les Falashas du passé et les Rastafaris d’aujourd’hui ont en commun ? Que fait l’Éthiopie de son patrimoine naturel et culturel dans ces temps de globalisation ? . Shining Ethiopia Jeudi 22 janvier à 19h Cette séance a été organisée à partir du numéro spécial d’Echo Géo intitulé « Glocal Ethiopia » dirigée par Marie Bridonneau et Sabine Planel (à paraître courant 2015). Longtemps demeurée fermée, l’Ethiopie engage une profonde refondation et une série de transformations politiques, économiques et sociales. Une nouvelle Ethiopie est-elle en train d’émerger malgré le maintien de l’autoritarisme ? Les intervenants expliqueront le phénomène de glocalisation qui structure aujourd’hui l’espace éthiopien dans son ensemble. Alain Gascon revient sur quarante ans qui ont changé l’Éthiopie, de l’Ancien régime à la révolution et à la mondialisation. Avec Alain Gascon, géographe et professeur émérite à l’Institut français de géopolitique de l’Université Paris-VIII : Éthiopie fédérale : la modernisation impérative. Jean-Nicolas Bach, docteur en Science politique, Institut d’études politiques de Bordeaux : Les élections éthiopiennes de 2015: La fin des illusions démocratiques ? (voir la page de Jean-Nicolas Bach sur academia.edu) Sabine Planel, géographe, IRD : La question du développement foncier urbain et rural et sur la question de l’accaparement foncier. . Les livres des intervenants : « La difficile construction de l’architecture africaine de paix et de sécurité en Afrique de l’Est », Jean-Nicolas Bach, in L’Architecture de Paix et de Sécurité en Afrique. Bilan et Perspectives, L’Harmattan, 2014. La Grande Éthiopie, une utopie africaine, Alain Gascon, CNRS éditions, 1995, et Sur les hautes terres comme au ciel. Identités et territoires en Éthiopie, Publications de la Sorbonne, 2006. « Glocal Ethiopia », Sabine Planel et Marie Bridonneau (Coord.), numéro spécial Echo Géo, n° 31, mars 2015. L’Architecture de Paix et de Sécurité en Afrique. Bilan et Perspectives - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre La Grande Éthiopie, une utopie africaine, Alain Gascon, CNRS éditions, 1995 - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre . L’Ethiopie antique et médiévale Affiche "Shining Ethiopia" - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Samedi 31 janvier à 17h « Les recherches archéologiques récentes ont révélé des sites urbains islamiques ainsi que les vestiges funéraires de sociétés païennes, voisins dans les deux cas du royaume chrétien médiéval. Quelles formes de cohabitation religieuse, mais aussi politique et économique, révèlent ces nouvelles données ? » François-Xavier Fauvelle. Avec Bertrand Poissonnier, archéologue, INRAP, Institut National de Recherches Archéologiques Préventives : L’Ethiopie antique ; François-Xavier Fauvelle, historien spécialiste de l’Afrique, directeur de recherches au CNRS (laboratoire TRACES, Toulouse) : Chrétiens, musulmans et païens en Ethiopie médiévale : coopération et concurrence ; Marie-Laure Derat, historienne, CNRS : Les formations politiques dans le royaume chrétien d’Ethiopie entre les XIe et XVe siècles ; Bertrand Hirsch, professeur d’histoire de l’Afrique médiévale à l’université Paris I Panthéon Sorbonne : Constructions européennes et éthiopiennes du Moyen Age éthiopien. . Livres des intervenants : Enquête sur les rois Zagwe. Royaume chrétien d’Ethiopie, XIe-XIIIe siècle, Marie-Laure Derat, 2014. Espaces musulmans de la Corne de l’Afrique au Moyen-Âge, François-Xavier Fauvelle, Centre Français des Études Éthiopiennes, 2011. La culture Shay d’Ethiopie, Xe-XIVe siècles, recherches archéologiques et historiques sur une élite païenne, Bertrand Poissonnier, De Boccard/CFEE, 2012. La culture Shay d’Éthiopie (Xe-XIVe siècles) - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Espaces musulmans de la Corne de l’Afrique au Moyen-Âge - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre . Musiques liturgique et profane Affiche de "Musiques liturgique et profane" - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Dimanche 1er février à 16h Avec Anne Damon-Guillot, ethnomusicologue, Société Française d’Ethnomusicologie, maître de conférences à l’université Jean Monnet Saint Etienne : Musique et gestuelle de l’Eglise orthodoxe unifiée d’Ethiopie. Et avec Jacques Denis, journaliste reporter (Le Monde Diplomatique, Jazz News, RFI…) pour une séance d’écoute sur l’âge d’or de la musique éthiopienne. Lire La mémoire dans la musique liturgique de l’Église chrétienne orthodoxe unifiée d’Éthiopie à travers la performance, l’écriture et la rencontre d'Anne-Damon Guillot sur Les Cahiers d'ethnomusicologie. « Sounds of Hell and Sounds of Eden. Sonic worlds in Ethiopia in the Catholic missionary context, 17th-18th centuries », Toward an Anthropology of Ambient Sound, dir. C. Guillebaud, New York : Routledge (Anthropology series), 2015. . Figures et enjeux de l’empire d’Ethiopie au XXe siècle : Ménélik II, Lïj Iyassu, Haïlé Sélassié I Figures et enjeux de l’empire d’Ethiopie au XXe siècle : Ménélik II, Lïj Iyassu, Haïlé Sélassié I - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Affichette "Figures et enjeux de l’empire d’Ethiopie au XXe siècle : Ménélik II, Lïj Iyassu, Haïlé Sélassié I" Samedi 7 février à 16h Cette rencontre met en lumière le rôle des trois rois de cette période clé de l’histoire de l’Ethiopie grâce aux recherches d’Eloi Ficquet sur Lïj Iyasu, à celles sur la création de la fanfare royale par le ras Täfäri de Boris Adjemian ainsi qu’à l’étude des photographies royales d’Estelle Sohier. Le livre d’Hugues Fontaine sur le train Djibouti-Ethiopie traverse les trois règnes. Avec Eloi Ficquet, historien et anthropologue, EHESS: The Life and Times of Lïj Iyasu of Ethiopia : New Insights. Zürich, Lit Verlag, 2014 ; Estelle Sohier, maître assistante au Département de Géographie de l’Université de Genève : Le Roi des rois et la photographie. Politique de l’image et pouvoir royal en Éthiopie sous le règne de Ménélik II, Sorbonne, 2012 ; Boris Adjemian, historien, EHESS : La fanfare du négus : Les Arméniens en Ethiopie (XIXe-XXe siècles), Editions de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, 2013 ; Hugues Fontaine, photographe pour son livre African Train. Un Train en Afrique. Djibouti-Ethiopie. Addis Ababa, CFEE/ Shama Books, 2012. . a fanfare du négus : Les Arméniens en Ethiopie (XIXe-XXe siècles), Editions de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, 2013 ; - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Le Roi des rois et la photographie. Politique de l’image et pouvoir royal en Éthiopie sous le règne de Ménélik II, Sorbonne, 2012  - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre The Life and Times of Lïj Iyasu of Ethiopia : New Insights - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre African Train. Un Train en Afrique. Djibouti-Ethiopie - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre . . Aventure d’une œuvre dans le noir © musée du quai Branly, photo Didier Gauducheau - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre © musée du quai Branly, photo Didier Gauducheau Dimanche 8 février à 16h et 17h La découverte sensorielle se fait dans la pénombre par l’écoute et le toucher d’un objet facsimilé, réplique exacte d’un chef-d’œuvre du musée par un conférencier de l'association Percevoir. Avec Hélène Wilhem de l’association Percevoir. . Ethiopie, la terre du prêtre Jean Rencontre autour de la vitrine Ethiopie du salon de lecture - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Jeudi 12 février à 18h30 Présentation de la vitrine du salon de lecture consacrée à l’Ethiopie. Par Hélène Joubert, conservateur en chef, responsable des collections Afrique au musée du quai Branly. En savoir plus sur la vitrine . L’Ethiopie aujourd’hui, une révolution inachevée ? L’Ethiopie aujourd’hui, une révolution inachevée ? - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Samedi 7 mars à 15h En Ethiopie, la révolution qui renversa en 1974 une théocratie pluri-séculaire engendra une dictature militaire, le Derg. Ce régime fut renversé à son tour en 1991 par une coalition de fronts rebelles qui a conservé le pouvoir jusqu’à aujourd’hui, contrôlant tous les échelons de l’Etat et de la société au nom de la démocratie révolutionnaire. Des programmes autoritaires de dépassement des faiblesses économiques ont été mis en œuvre et abouti à des transformations importantes, mettant le pays sur la voie du développement. Cette rencontre prendra la mesure de ces évolutions politiques, économiques et sociales et débattra des éléments pertinents pour décrire et analyser la situation actuelle. Avec Eloi Ficquet, historien et anthropologue, EHESS ; René Lefort, journaliste et chercheur, spécialiste de la Corne de l’Afrique . à 17h : Les cultures contemporaines éthiopiennes Avec Eloi Ficquet sur les dynamiques de la création contemporaine en Ethiopie et Marian Nur Goni, historienne de la photographie sur Michael Tsegaye, photographe éthiopien qui a participé à la biennale Photoquai 2011 et Addis Foto Fest. à 17h30 : Patrimoine culturel et patrimoine naturel d’Ethiopie Lors de cette rencontre, les auteurs confronteront les visages contemporains du patrimoine éthiopien. Il y sera question de la nature qui peine à exister hors du regard étranger dans les montagnes du Semen et de celle qui existe sous des formes sociales inédites en pays konso. On y découvrira aussi les aspects culturels qui favorisent l’amarrage au monde de la petite ville de Lalibela et les processus d’inscription de la population mursi à la société nationale éthiopienne. Le patrimoine d’Éthiopie se révèle à différentes échelles, tant universelle que locale ou national. Guillaume Blanc : La triste invention de la nature éthiopienne : étude d’un patrimoine mondial des hauts plateaux. Marie Bridonneau : Lalibela, petite ville éthiopienne dans la mondialisation : du haut lieu à la ville ordinaire. Elise Demeulenaere : Le paysage culturel konso : frictions et contingences autour d’un classement au patrimoine mondial de l’UNESCO ; Projection d’un extrait du film Le roi ne meurt jamais, 2007, Doc Net Films Editions. DVD, 73 min . Jean-Baptiste Eczet : L’Ethiopie, c’est où ? Un point de vue Mursi et les enjeux qu’ils représentent. . Understanding Contemporary Ethiopia : Monarchy, Revolution and the Legacy of Meles Zenawi, Eloi Ficquet et Gérard Prunier : Hurst Edition, février 2015. - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Livres des intervenants : Understanding Contemporary Ethiopia : Monarchy, Revolution and the Legacy of Meles Zenawi, Eloi Ficquet et Gérard Prunier : Hurst Edition, février 2015. « Le Simien Mountains National Park (Éthiopie), un “territoire-patrimoine” de violence », in L’aluminium et la calebasse. Patrimoines techniques, patrimoines de l’industrie en Afrique, Guillaume Blanc, Paris – Belfort –Montbéliard, UTBM – Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, 2013. "Lalibela, une ville éthiopienne dans la mondialisation. Recompositions d un espace sacré, patrimonial et touristique" par Marie Bridonneau, éditions Karthala, 2014. « Les belles idées de la défigurée : à propos du plateau labial des Mursi (Ethiopie) », Jean-Baptiste Eczet, Images Re-vues, 10 | 2012. . Juifs éthiopiens, Juifs noirs et Rastafaris : rencontres mystiques en et hors d’Ethiopie Juifs éthiopiens, Juifs noirs et Rastafaris : rencontres mystiques en et hors d’Ethiopie - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Samedi 28 mars à 16h Juifs éthiopiens en Israël, Juifs noirs des Etats-Unis et Rastafaris des Caraïbes et au-delà, tissent autour de l’Ethiopie une histoire peu connue, pétrie d’imaginaires, de déplacements, et de pratiques sociales. Terre promise pour certains, terre quittée pour d’autres, l’Ethiopie recèle des pouvoirs de suggestion qui ne cessent de surprendre. Des spécialistes, chercheurs, dessinateurs, conservateurs, et cinéastes présentent des acteurs et des trajectoires qui dessinent les grands enjeux de la relation entre l’Ethiopie et ces groupes qui, chacun à leur manière, se font l’écho du mythe national fondateur, la rencontre entre le roi Salomon et la reine de Saba. Giulia Bonacci, historienne, IRD/URMIS : Exodus ! L’histoire du retour des Rastafariens, L’Harmattan, 2010. Jérémie Dres, auteur de la bande dessinée, Dispersés dans Babylone, Gallimard, 2014. L’auteur mène une enquête identitaire pour comprendre les liens entre les Juifs et les Rastas. Un récit entre reportage, autofiction et bande dessinée. Voir le site de Jérémie Dres Daniel Friedmann, sociologue, cinéaste, CNRS : Les Juifs d’Ethiopie. De Joseph Halévy à nos jours. Un siècle de rencontres, 25 ans d’immigration massive, «Voix», Paris, Les Editions du Nadir, 2007. Maurice Dorès, chercheur et cinéaste, auteur avec Sarah Dorès, réalisatrice et monteuse du film Jacques Faïtlovitch et les tribus perdues. Gaëlle Beaujean-Baltzer, responsable de collections Afrique, présente une peinture des collections du musée. Elle représente la légende de la reine de Saba, ancêtre de la lignée royale, huile sur toile d’Agganaw Engeda, Ethiopie. . Dispersés dans Babylone, Gallimard, 2014. - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Exodus ! L’histoire du retour des Rastafariens, L’Harmattan, 2010. - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre . à 18h dans la salle de cinéma : Projections de films Jacques Faïtlovitch et les tribus perdues. Film documentaire de Maurice Dorès et Sarah Dorès, 2011, 59 min, Les Films Esdés. Que sont les immigrants devenus ? Film de Daniel Friedmann, 49 min, juin 2004 et avril 2005, CNRS Images. Musée du quai Branly. Histoire mondiale de la colonisation Ménélik II et Hailé Sélassié par Simon Imbert-Vie © musée du quai Branly, photo Cyril Zannettacci - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Musée du quai Branly. Histoire mondiale de la colonisation Ménélik II et Hailé Sélassié par Simon Imbert-Vie © musée du quai Branly, photo Cyril Zannettacci . . Les églises monolithes de Lalibela : datation, attribution, controverses Lalibela. Capitale de l'art monolithe d'Éthiopie. Paris, Picard, 2013. - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Lalibela. Capitale de l'art monolithe d'Éthiopie. Paris, Picard, 2013. Jeudi 2 avril à 19h Rencontre avec Jacques Mercier pour son livre Lalibela, Capitale de l’art monolithe d’Éthiopie (Jacques Mercier et Claude Lepage, Picard 2013.) Jacques Mercier est anthropologue, spécialiste de l’Éthiopie, chercheur honoraire au CNRS (Laboratoire d’ethnologie et de sociologie comparative, université Paris-X Nanterre). Ce centre de pélerinage majeur pour les chrétiens d'Éthiopie est composé d'un ensemble de onze églises entièrement taillées dans la roche durant la première décennie du XIIIe siècle. L'ouvrage, qui a bénéficié d'une campagne photographique exceptionnelle, est le premier à présenter ce site dans toutes ses dimensions, archéologique, historique, culturelle, artistique et religieuse. . L'Ethiopie au musée du quai Branly : une collection exceptionnelle Jeudi 9 avril à 18h30 Par Hélène Joubert, conservateur en chef, responsable des collections Afrique au musée du quai Branly. . Peintures éthiopiennes : histoire et matériaux Samedi 11 avril à 17h Présentation d’une peinture éthiopienne des collections. A partir des collections du musée du quai Branly et du musée de l’Institute of Ethiopian Studies d’Addis Abeba, Claire Bosc-Tiessé, historienne de l’art, chercheur au CNRS, et Sigrid Mirabaud, chimiste, responsable du laboratoire de l’Institut National du Patrimoine, présentent leurs approches respectives de la création dans la peinture éthiopienne chrétienne du XVe au XVIIIe siècle. . Dans les collections de l'iconothèque Capture d'écran de recherche sur le catalogue de l'iconothèque avec le terme Ethiopie - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre Capture d'écran de recherche sur le catalogue de l'iconothèque avec le terme Ethiopie Jules Borelli Jules Borelli (1852-1941) explorateur photographe, voyage en Ethiopie de 1885 à 1888. En 1887, à Ankober, il fait la connaissance d’Arthur Rimbaud, avec lequel il est l’un des premiers à parcourir le trajet d’Entotto à Harar. Il publie son récit à son retour éthiopie méridionale : journal de mon voyage aux pays Amhara, Oromo et Sidama, septembre 1885 à novembre 1888. Le musée du quai Branly conserve un ensemble de 540 négatifs. Ce corpus reste majoritairement inédit, puisque seuls 211 tirages sur papier sont connus. Marcel Griaule « Après avoir appris l’amharique et le guèze, Marcel Griaule part en Ethiopie le 25 Septembre 1928 pour une « mission ethnographique et linguiste » d’une dizaine de mois. Il réalise ainsi, à l’âge de trente ans ses première recherches de terrain grâce à un financement du Ministère de l’instruction publique et des beaux-arts. [...] à son retour en France, Griaule rapporte 700 photographies, différents spécimens d’animaux et de plantes ainsi que de nombreux objets liés à ses thèmes de recherche : manuscrits en amharique, peinture religieuses, objets liturgiques et vanneries. Quelques années plus tard, il publie Les Flambeurs d’hommes, récit littéraire et parfois romancé de ce premier voyage en Ethiopie. » Éric Jolly, Marianne Lemaire & Manuel Valentin : L’Afrique de Marcel Griaule. Les cahiers de l’expo. Paris, Musée de l’Homme / MSHN, 1998. Catalogue en ligne Découvrez l’Ethiopie dans les collections de l’iconothèque via le catalogue du musée ============= Dossier complet : FRIENDS OF HADHRAMAUT : rencontre le 7 mars à Londres. Dossier transmis par Sultana Al Quaiti : The Hadhramaut Research Centre is holding its first International Conference, "Rediscover Hadhramaut" in London on March 7th 2015 from 8:30 am- 5 pm. Distinguished academics from many parts of the world will participate in panels to cover topics on Hadhramaut in particular and Yemen in general. For more information please contact: www.hadhramautresearchcentre.com FOREWORD For centuries, Hadhramaut has played a significant and influential role in the Arabian Peninsula. Historically and at present, Hadhramis have migrated to other parts of the Arabian Peninsula, to Africa, the Indian sub-continent and to South East Asia. In all these regions, Hadhramis have played an important and significant role in many fields – in Society, in the Economy, in Politics, in Culture and Religion and in their Intellectual Development. This important role played by Hadhramis is recognized in all these areas. Indeed migration has had a critical impact on Hadhramaut itself. In fact, Hadhramaut plays an important role in the regional and international political map. In recent time, it has played two contradictory roles in Yemen since the 1960s:it has contributed to both stability and instability in Yemen. Without either of these two roles the National Liberation Front (NLF) would have failed to build a state or have attracted a union with North Yemen which was run by tribal leaders. Thus, Hadhramaut gave both the two regimes (North & South) the required ingredient for some form of stability after the (1994) civil war. At the same time, Hadhramaut’s economic resources and geo-political significance were the main motive for the competition between tribal forces before and after forming the unity government as well as in the current transitional government. Consequently Hadhramaut is an important cause of instability in Yemen. This situation has created a great deal of depression and hopelessness amongst the youth of Hadhramaut accompanied with loss of identity and a feeling of being foreigners in their own land. This partly explains the fact that many of them have joined radical movements, which is the adverse face of the normal peaceful and pious Hadhrami personality. In fact, the Yemeni identity has never been acceptable by the Hadhramis. This, in turn, has particularly brought about sensitivity and even animosity against the Hadhrami identity in both the North and the South of Yemen. This resulted in an inclination to control and humiliate this Hadhrami identity by both the past and the present regimes. This has clearly seen in the behaviour of the people from the Yemeni State who and have settled in Hadhramaut. For a long time, Hadhramis had lived a stable life, which created in them discipline and obedience to the state and law. The Hadhrami community, therefore, could not adapt to the situation of confusion and where laws are ineffective and failed to protect them. This situation of confusion which is normal in North Yemeni tradition, was brought to Hadhramaut by the Northerners who controlled the State in Hadhramaut.. The newcomers, therefore, took power of the local authority, the army and the police and that made them unjustly control the key issues in the governorate such as job opportunities and local resources. In effect, they have used all the resources to make profit for the leaders of these bodies in the north at the expense of the people and the environment in Hadhramaut. With respect to security, Hadhramaut has never been a military threat to anyone. The persons in charge of security and military forces in Hadhramaut, therefore, played unprofessional roles by contributing to increasing the financial earnings of various political, military and tribal leaders and sharing the profit with them. In spite the feeling of insecurity, the Hadhrami community failed to form their own defensive organisations to counter the failure of the regime in providing the necessary security precautions to protect the citizens and institutions. This made Hadhramaut a haven for both armed and radical elements. Hadhramaut has, therefore, encountered two dilemmas: firstly, a rise in poverty and lack of development due to the resources being controlled by northern tribal armed forces. Secondly, a decline in the civil personality of the Hadhramis which made radicalism an increasingly attractive choice to the youth. Consequently, the tribal armed forces' behaviour and practice of exploiting Hadhramaut resources for themselves and over which they constantly fight each other, has led both the Hadhramis as well as the central state- the south or the unified Yemen- to prolonged the state of instability. This has created in Hadhrami society a situation which encourages the rise of radical movements attracting the Hadhrami youth. The idea of the Research Centre The basic idea for establishing this centre is to have an academic institution to study all important aspects of Hadhramaut and its Society so that Hadhramis are provided with detailed knowledge on different aspects of their society, knowledge which will consequently encourage them to assist their homeland and improve their social welfare. This is intended also to help decision makers locally (private or government), regionally and internationally to place the Hadhrami culture in its appropriate position by exposing the peaceful and positive cultural qualities of Hadhramis. This is hoped also to strengthen ties with the Hadhrami societies in the diaspora towards serving their ancestral homeland. The centre will specifically endeavour to work in three directions: training, research and community services. Training: The centre will offer postgraduate programs for the degrees of High Diploma, Masters and PhD in various fields that relate to Hadhramaut the Yemen and the Hadhrami Diaspora. Research: The centre will set up research projects about Hadhramaut and the Diaspora focusing primarily on society, economics, politics, history and anthropology. Community Service: The centre will undertake two major tasks: the first is to establish an incubator for social initiatives so as to encourage establishing effective civil society organisations particularly in human rights and environmental issues. This will allow further participation of the civil community in various matters relating to Hadhramaut. The second task is to support tertiary vocational institutions in Hadhramaut. Establishing the centre: A steering committee has been formed to establish the centre. Its members are:- - Professor Abdalla Bujra Al Nahdi (Lamu, Kenya) - Professor Leif Manger (University of Bergen, Norway) - Dr. Saddiq Maknoon (Al Ahgaaf University, Fuwah, Mukalla) - Mr. Muhammad Bin -Dohry (London, UK) The Steering Committee’s responsibilities: 1. Ensuring the establishment of the Centre. 2. Forming of a Board of Trustees. 3. Looking for sources for funding the Center. 4. Preparing the bases of the Programmes in the three main areas: training, research and community service. 5. Creating the necessary contacts with organisations that will assist in establishing the centre. Organisation: The centre is an academic research institution which is hosted by Al-Ahgaff University in Mukalla. It will be financially and administratively independent and will be managed by a Board of Trustees and an Administrative Executive Committee. Finances: The Steering Committee will work towards raising necessary financial funds for the centre from Hadhramis in the diaspora, foreign donors, and international organisations. Operational start up: The project initially requires the following: - Offices with appropriate facilities. - Administration staff - Library - Instructors - Operational costs for the start up. Provision of operational costs: 1. Al Ahgaaf University will contribute appropriate temporary offices within the University’s headquarters in Mukalla (equipped with the necessary furniture and stationery) and one administrator, for a period of one or two years. 2. Instructors and Researchers: The principal requirement is suggested to be as follows: - Full time Academic Dean to be head of the centre - Heads of departments (part time) - Research Supervisors (part time) - Instructors(paid hourly) - Full time visiting professors for one semester or one academic year 3. The Library will be the backbone of the centre and will require manuscripts, publications, journals etc. which need to be purchased, subscribed or borrowed from other universities, libraries or other institutions. _____________________________________ Nouvelle publication : PARIS ORIENTAL... par Yasrine MOUAATARIF, édition PARIGRAMME (Paris/est/à/nous). Sortie de presse : 27 avril 2013 111 pages, très nombreuses rublriques, adresses, compte-rendus, etc... passionnant ! à découvrir, absolument ! prix : 6 euros. Article sur ce site : à suivre bientôt. |propre|image_reduire{500,0}

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    ETHIOPIE YEMEN Mer ROUGE OMAN infos [(CONFERENCE PROJECTION RENCONTRE SIGNATURE YEMEN et hommage à Théodore Monod Jeudi 2 décembre 2021 Mairie du 7 ème arr.t PARIS Bienvenue ____________________ Situation au Yémen : 12 MARS 2021 - N° 1221 INTERNATIONAL Yémen, la terrible agonie de « l’Arabie heureuse » Le Yémen, cœur de l’antique « Arabie heureuse » vantée par les Grecs et les Romains, est en proie au triple fléau de la guerre, de la Covid et de la famine. Le pays est déchiré par une guerre tribale et confessionnelle depuis l’été 2014. Ce n’est pas seulement une guerre intestine mais un affrontement militaire international où s’opposent principalement l’Arabie saoudite et l’Iran. Le conflit, qui a déjà fait des dizaines de milliers de morts et des millions de déplacés, plonge le pays dans la pire crise sanitaire au monde selon l’ONU. Plus de 16 millions de Yéménites, soit plus de la moitié de la population (29 millions), seraient menacés par la famine et le manque de soins. La guerre connaît ces jours-ci un regain d’intensité. Les rebelles Houthis (chiites soutenus pas l’Iran) sont passés à l’offensive contre la ville pétrolière de Marib, dernier bastion du nord du Yémen des forces loyalistes (sunnites, soutenues par l’Arabie Saoudite où s’est réfugié le gouvernement yéménite chassé de sa capitale, Sanaa). Les rebelles ont couplé leur offensive avec une recrudescence d’attaques de drones et de missiles contre le royaume saoudien. L'Arabie saoudite alliée aux Émirats arabes unis (avec, jusqu’à ces derniers temps, le soutien militaire des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de la France) a répliqué en reprenant des frappes aériennes contre Sanaa, la capitale du Yémen aux main des Houthis, le dimanche 7 mars. Cette recrudescence des combats intervient alors que l'administration américaine de Joe Biden a retiré les Houthis de la liste des « organisations terroristes ». Officiellement, le but serait de ne pas entraver l'acheminement de l'aide humanitaire au Yémen mais ce pourrait bien aussi être un gage de bonne volonté envoyé aux Iraniens afin de reprendre avec eux les négociations sur le nucléaire rompues par Donald Trump. Le gouvernement américain a décidé de mettre fin à son aide militaire à la coalition arabe contre le Yémen, tout en réaffirmant son soutien à Ryad dans la défense de son territoire, et en exhortant les Houthis à la désescalade. « Nous renforçons nos efforts diplomatiques pour mettre fin à la guerre au Yémen, une guerre qui a créé une catastrophe humanitaire et stratégique », avait déclaré Joe Biden, lors de son premier discours de politique étrangère au département d’État, le 4 février. Il semble avoir prêché dans le désert… Quant à la conférence des donateurs réunis le lundi 1er mars pour secourir la population yéménite, elle n’a pas atteint la moitié des dons espérés par l’ONU (1,7 milliard de dollars, au lieu des 3,8 milliards attendus). Marib, située à 120 kilomètres à l’est de Sanaa, est peuplée de 2 millions d’habitants dont des centaines de milliers de déplacés. Vont-ils pouvoir fuir les combats ? Ce n’est pas seulement cette ville, mais toute la province, riche en pétrole et en gaz, que les insurgés ont entrepris de conquérir. Leur victoire constituerait un tournant dans cette guerre de presque 7 ans, un succès pour l’Iran, et un échec cuisant pour l’Arabie saoudite – dont l’armée fait piètre figure depuis son entrée dans le conflit malgré les moyens financiers et les armes sophistiquées dont elle dispose. Il est vrai que l’Iran ne s’est pas montrée avare en armements envers ses alliés outhis, y compris en missiles balistiques, comme l’ont appris à leurs dépens les Saoudiens, traumatisés et humiliés par des attaques surprises contre des installations pétrolières sur leur sol. Philippe Oswald ---------------------------------------------- Samedi 14 septembre 2019 – 10 h/13 h Autour du Yémen et de l’Ethiopie 10 h 15 : Projection exceptionnelle du film : « Le vieil Homme et la fleur » La dernière mission de Théodore Monod au Yémen avec José-Marie Bel (1995). 11h15/12h45: trois auteurs présentent leurs ouvrages. Rencontre, débat, signatures… - José-Marie BEL, Au Yémen avec Théodore Monod. Ginkgo ed. - Gérard GEIST, Moi, Jeronimo Lobo, Ed. l’Harmattan. - François PACHE, Ethiopie, d’une présence à l’autre, Ed. CL. _________________________________ Yemen... Aden... quelques nouvelles : Cinq ans de guerre qui meurtrie son peuple et bouleverse une grande partie du pays (sauf Hadramawt et Socotra...) et à Aden des tentatives séparatistes... l'échiquier yéménite bousculé sans cesse par des intérets étrangers ne cesse de s'enliser... Lire quelques lignes du Monde (que nous remercions, tout comme Jean-Philippe Remy, journaliste que nous connaissons et avons soutenu). > La tension est tombée d’un cran supplémentaire, samedi 17 août 2019, à Aden, dans le sud du Yémen, avec le début du retrait des séparatistes de positions prises aux forces gouvernementales yéménite. Les combattants affiliés aux séparatistes sont partis sous la pression conjuguée de l’Arabie saoudite et des Emirats arabes unis, soucieux de ressouder leur alliance face aux rebelles houthistes. Les sièges du gouvernement, du Conseil suprême de la justice et de la banque centrale ainsi que l’hôpital d’Aden ont ainsi été évacués par les séparatistes, selon le ministre de l’information du gouvernement internationalement reconnu, Mouammar Al-Iryani, qui s’est exprimé sur Twitter. Les préparatifs sont en cours pour un retrait des séparatistes du siège du ministère de l’intérieur et de la raffinerie d’Aden, a ajouté M. Iryani. L’alliance au Yémen entre l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis a été mise à mal par les combats la semaine passée entre les forces gouvernementales, soutenues par Riyad, et les forces séparatistes, soutenues par Abou Dhabi. Ces dernières, relevant du Conseil de transition du sud (STC), appelées « cordon de sécurité », sont armées et encadrées par les Emirats. Elles avaient pris le dessus sur les troupes fidèles au président yéménite Abdrabbo Mansour Hadi, soutenu par l’Arabie saoudite. La coalition rappelle ses priorités Les combats ont fait au moins 40 morts et 260 blessés en quatre jours et se sont soldés par une déroute des forces de M. Hadi, dont le gouvernement a crié au coup d’Etat. Les analystes ont vu dans ce combat fratricide la preuve de failles au sein de la coalition et de divergences entre ses principaux membres. Si, au Yémen, l’Arabie saoudite semble soucieuse de se protéger contre les rebelles houthistes, soutenus par l’Iran, les Emirats apparaissent av